135 000 morts...
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Dans ses discours à ses compatriotes, Goering exploita la tragédie de Dresde dans un but de propagande contre le terrorisme anglo-saxon, sans d'ailleurs obtenir le sursaut d'énergie escompté.
En Angleterre le public ressentit quelque émoi en apprenant le bombardement de Dresde. Aux Communes, des questions sévères furent posées au secrétaire d'Etat pour l'Air, Sir Archibald Sinclair. L'explication la plus communément admise fut qu'il fallait porter un coup mortel au moral des populations avant l'assaut final. Plus tard, on prétendra que le bombardement avait été demandé par les Russes pour désorganiser la résistance des civils et les mouvements de l'armée allemande devant l'armée soviétique. Dresde, océan de feu, 135 000 morts.

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Dresde, 13 février 1945